Comme Tahiti Infos, la Dépêche de Tahiti pourrait, dès la semaine prochaine, ne paraître que cinq jours par semaine. « Travailler sur six jours en imprimerie est très compliqué », confie Dominique Auroy. Surtout, selon lui, « il y a très peu d’annonceurs le samedi » et la non parution ce jour-là permettrait « de simplifier les plannings ». « Comme en plus nous venons de mettre en place un nouveau système éditorial, nous allons pouvoir remettre des effectifs sur le terrain et de l’effectif en semaine ». Cette décision est, pour lui, l’illustration d’une politique de « meilleure gestion avec une approche pragmatique ».
Si la décision prend effet, Dominique Auroy annonce une Dépêche du vendredi « de 80 à 100 pages » avec du contenu spécial week-end en plus de l’actualité. Il promet également une nouvelle stratégie web « d’ici un à deux mois » pour le quotidien.
Du côté de la rédaction, on considère cette nouvelle comme « catastrophique » et les journalistes espèrent encore faire changer d’avis leur patron. Mais quand on évoque la possibilité de ne plus faire paraître la Dépêche le samedi dès le 17 février, Dominique Auroy répond : « Ce n’est pas impossible. »
L’homme d’affaire est à la tête du groupe depuis avril 2014. Depuis son arrivée, les Nouvelles de Tahiti ont cessé de paraître et l’édition du dimanche de la Dépêche a été interrompue. En novembre dernier le groupe avait annoncé son intention de faire imprimer ses journaux sur la rotative de son concurrent, le groupe Fenua Communication. Mais après une grève d’une semaine le projet a été remis sine die.
Si la décision prend effet, Dominique Auroy annonce une Dépêche du vendredi « de 80 à 100 pages » avec du contenu spécial week-end en plus de l’actualité. Il promet également une nouvelle stratégie web « d’ici un à deux mois » pour le quotidien.
Du côté de la rédaction, on considère cette nouvelle comme « catastrophique » et les journalistes espèrent encore faire changer d’avis leur patron. Mais quand on évoque la possibilité de ne plus faire paraître la Dépêche le samedi dès le 17 février, Dominique Auroy répond : « Ce n’est pas impossible. »
L’homme d’affaire est à la tête du groupe depuis avril 2014. Depuis son arrivée, les Nouvelles de Tahiti ont cessé de paraître et l’édition du dimanche de la Dépêche a été interrompue. En novembre dernier le groupe avait annoncé son intention de faire imprimer ses journaux sur la rotative de son concurrent, le groupe Fenua Communication. Mais après une grève d’une semaine le projet a été remis sine die.
Bertrand Parent