Elles ont débuté en Polynésie “de la meilleure manière qui soit”, estime Annick Girardin. “C’est-à-dire, en collaboration, concertation, co-construction entre les équipes du haut-commissariat et du Pays. Bien sûr, sont venus aussi enrichir l’ensemble de ces débats, à la fois le milieu économique, mais les citoyens aussi. C’est ce qu’a voulu le Président de la République, que tous ceux qui ne s’exprimaient plus, puissent le faire.”
Pour Annick Girardin, les Assises des outre-mer pourraient contribuer à améliorer le numérique en Polynésie. “Le haut débit, c’est une question nationale aujourd’hui, mais c’est encore plus prégnant ici en Polynésie avec l’ensemble des archipels et l’étendue des archipels. J’ai été aux Marquises pendant 2 jours. J’ai bien conscience de la difficulté de pouvoir travailler à distance, de pouvoir communiquer.” Des moyens financiers pourraient être apportés pour aider le Pays à avancer dans ses projets d’infrastructures.
Rédaction web