Vidéo. Cité flottante : le « oui, mais » du haut-commissaire

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Publié le 16/01/2017 à 16:16 - Mise à jour le 16/01/2017 à 16:16

« Le seul Etat souverain que je connaisse en Polynésie, c’est la République française ». En une phrase, René Bidal a écarté toute possibilité d’enclave indépendante dans les eaux polynésiennes. 

L’une des originalités des projets de cités flottantes, c’est leur souveraineté vis-à-vis des gouvernements, par philosophie mais aussi pour éviter de s’acquitter des taxes. En dehors de cet aspect politique, le haut-commissaire se dit prêt à étudier « ce sujet d’investissements économiques » :

Lors de ses voeux à la presse, le haut-commissaire a aussi répondu à des questions sur les modifications de la loi Morin. L’une des principales demandes des associations anti-nucléaire était la suppression de la notion de risque négligeable dans cette loi. C’est peu probable, d’après René Bidal : 

Sur les accords de Papeete, René Bidal a assuré, comme le Président Hollande la veille, qu’ils serait « signés avant la fin de la mandature », c’est-à-dire en avril au plus tard : 

Mike Leyral

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