Les européennes n’ont pas la côte auprès des électeurs polynésiens. Avec 15 % du taux de participation, la Polynésie est loin derrière la Nouvelle-Calédonie qui affiche un taux de participation de 27.05 %. Il y a eu un peu plus de 7 % de votants en moins par rapport à 2009. Les candidats locaux sont unanimes. Le temps donné pour la période électorale a été trop court.
Avec 11.140 voix, le candidat indépendantiste Tetuahau Temaru arrive en tête. La liste UMP menée en Polynésie par Sylviane Terooatea arrive en seconde position avec 24.5 % des suffrages exprimés. Avec un peu plus de 10 %, Maeva Salmon avec sa liste L’union pour les outremers arrive juste après. Le Front national se hisse à la 4ème position avec 7,72 %. Sa tête de liste se dit tout de même satisfaite du résultat obtenu, même si elle a été prise par le temps. Même son de cloche pour les candidats écologistes et féministes, Jules Hauata et Maireraurii Weil-Curiel.
Mais les résultats en Polynésie française ne correspondent pas à ceux de la métropole. Pour le politologue Sémir Al-Wardi, en Polynésie ce sont toujours les partis classiques qui remportent.
Les candidats locaux ont donc 5 ans pour informer la population avec le prochain scrutin.
Le Tahoeraa, qui n’avait pas appelé ses militants à voter, estime que ce scrutin est un échec pour Oscar Temaru, comme il le dénonce dans ce communiqué en pièce jointe :
Avec 11.140 voix, le candidat indépendantiste Tetuahau Temaru arrive en tête. La liste UMP menée en Polynésie par Sylviane Terooatea arrive en seconde position avec 24.5 % des suffrages exprimés. Avec un peu plus de 10 %, Maeva Salmon avec sa liste L’union pour les outremers arrive juste après. Le Front national se hisse à la 4ème position avec 7,72 %. Sa tête de liste se dit tout de même satisfaite du résultat obtenu, même si elle a été prise par le temps. Même son de cloche pour les candidats écologistes et féministes, Jules Hauata et Maireraurii Weil-Curiel.
Mais les résultats en Polynésie française ne correspondent pas à ceux de la métropole. Pour le politologue Sémir Al-Wardi, en Polynésie ce sont toujours les partis classiques qui remportent.
Les candidats locaux ont donc 5 ans pour informer la population avec le prochain scrutin.
Le Tahoeraa, qui n’avait pas appelé ses militants à voter, estime que ce scrutin est un échec pour Oscar Temaru, comme il le dénonce dans ce communiqué en pièce jointe :
