C’est par courrier que Bruno Le Roux, député de Seine-Saint-Denis et président du groupe socialiste à l’assemblée nationale, apporte son soutien à Tauhiti Nena et à sa suppléante Lanah Tama
« Tauhiti Nena est à mon sens celui qui sera le plus à même de défendre les intérêts de la Polynésie à l’assemblée nationale tout en continuant à promouvoir les grandes orientations politiques qui sont à l’origine de son engagement. C’est une personnalité reconnue et respectée qui a toujours sur porter la voix des Polynésiens, un de ces élus ancrés dans les réalités locales et toujours mobilisés pour faire avancer les causes et les valeurs qu’ils défendent » écrit Bruno Le Roux.
Dans un communiqué ce mercredi 11 juin, le candidat à la députation remercie le député et ajoute « que ce soutien du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale est un atout certain pour un traitement favorable des dossiers polynésiens qu’il défendra s’il est élu député ».
Pour rappel, les élections législatives partielles ont lieu les 14 et 28 juin dans la première circonscription de Polynésie française, suite à la démission d’Édouard Fritch.
Retrouvez le courrier du député socialiste en pièce jointe
« Tauhiti Nena est à mon sens celui qui sera le plus à même de défendre les intérêts de la Polynésie à l’assemblée nationale tout en continuant à promouvoir les grandes orientations politiques qui sont à l’origine de son engagement. C’est une personnalité reconnue et respectée qui a toujours sur porter la voix des Polynésiens, un de ces élus ancrés dans les réalités locales et toujours mobilisés pour faire avancer les causes et les valeurs qu’ils défendent » écrit Bruno Le Roux.
Dans un communiqué ce mercredi 11 juin, le candidat à la députation remercie le député et ajoute « que ce soutien du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale est un atout certain pour un traitement favorable des dossiers polynésiens qu’il défendra s’il est élu député ».
Pour rappel, les élections législatives partielles ont lieu les 14 et 28 juin dans la première circonscription de Polynésie française, suite à la démission d’Édouard Fritch.
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