Pour le Tapura Huira’atira: « La Polynésie française n’a pas besoin de chimères statutaires pour satisfaire l’égo d’une personne qui ne pense qu’à sa propre existence médiatique, tout en cherchant à maintenir la cohésion d’un groupe politique qui, d’évidence, ne croit plus en l’avenir politique de son leader. »
Mais pour autant, la nouvelle formation politique n’est pas réfractaire à un changement… au contraire… : « Pour ce qui le concerne, le Tapura Huiraatira reste pragmatique et travaille, en concertation avec l’Etat, à une évolution statutaire qui vise à lever les freins au développement économique et social posés par le statut voulu par Gaston Flosse, sans pour autant remettre en cause notre relation contractuelle avec la République qui nous a attribué la faculté de nous gouverner « librement et démocratiquement » comme cela a été posé en 2004. «