Des discours et des signatures. Il ne restait qu’une semaine avant la mise en réserve du chef de l’Etat pour cause de période électorale. Alors François Hollande a tenu néanmoins à signer sa promesse. Qui devra être réaliser par d’autre.
« il ne s’agit pas d’un contrat de projet, ni d’un contrat de développement, il s’agit d’un cadre politique qui permet d’agir ensemble et de mettre la Polynésie pleinement dans la République. » Ainsi s’exprimait François Hollande, ce vendredi matin, lors de la signature de cet accord qui sera validé ou pas par son successeur. « Nous verrons bien qui l’appliquera, et c’est vous qui en déciderez » a t-il déclaré s’adressant au public.
Côté polynésien, on se satisfait de cette signature, qui marque les bonnes relations retrouvées avec l’Etat français. Comme le confirme Edouard Fritch. « Je suis heureux de ce qui se passe, car effectivement, avec l’Etat, les choses se compliquaient d’années en années, et là, je dois reconnaitre que le président Hollande a tout fait depuis trois ou quatre ans pour que les relations soient sereines et bonnes entre le Pays et l’Etat. »
Une fois le texte approuvé par l’assemblée de Polynésie, et le Conseil Economique et Social de Polynésie, il faudra néanmoins reprendre les discussions avec un nouveau gouvernement. « On va faire en sorte que ce contrat avec l’Etat français soit réel et que ce qui a été exprimé dedans, devienne quelque chose de réel dans son application. » précise Winiki Sage, président du CESC.
Le texte va donc retourner au fenua avec la délégation. Ce sera à elle de le ressortir très vite, après les élections.
« il ne s’agit pas d’un contrat de projet, ni d’un contrat de développement, il s’agit d’un cadre politique qui permet d’agir ensemble et de mettre la Polynésie pleinement dans la République. » Ainsi s’exprimait François Hollande, ce vendredi matin, lors de la signature de cet accord qui sera validé ou pas par son successeur. « Nous verrons bien qui l’appliquera, et c’est vous qui en déciderez » a t-il déclaré s’adressant au public.
Côté polynésien, on se satisfait de cette signature, qui marque les bonnes relations retrouvées avec l’Etat français. Comme le confirme Edouard Fritch. « Je suis heureux de ce qui se passe, car effectivement, avec l’Etat, les choses se compliquaient d’années en années, et là, je dois reconnaitre que le président Hollande a tout fait depuis trois ou quatre ans pour que les relations soient sereines et bonnes entre le Pays et l’Etat. »
Une fois le texte approuvé par l’assemblée de Polynésie, et le Conseil Economique et Social de Polynésie, il faudra néanmoins reprendre les discussions avec un nouveau gouvernement. « On va faire en sorte que ce contrat avec l’Etat français soit réel et que ce qui a été exprimé dedans, devienne quelque chose de réel dans son application. » précise Winiki Sage, président du CESC.
Le texte va donc retourner au fenua avec la délégation. Ce sera à elle de le ressortir très vite, après les élections.
Rédaction Web avec Eric Dupuy
Le discours d’Edouard Fritch, président de la Polynésie française