PSG: Le Tahoeraa fait le procès d’Edouard Fritch

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Publié le 21/02/2017 à 12:55 - Mise à jour le 21/02/2017 à 12:55

Arguant que « La ministre des Outremer, Ericka Bareigts, propose à Edouard Fritch une mission de l’IGAS (NDLR: Inspection Générale des Affaires Sociales)  pour aider à la réforme de la PSG », pour le parti orange, cela signifie que « l’Etat fait implicitement le constat d’échec d’Edouard Fritch sur ce dossier essentiel. (…) et se retrouve ainsi désavoué par l’Etat. »

Rappelant que « après la première mission de l’IGAS (…) et le rapport d’Anne Bolliet, le Pays s’était engagé à mettre en œuvre rapidement cette réforme de la PSG » et qu’il « s’était aussi engagé à prendre un certain nombre de mesures urgentes lors de la signature de la convention qui devait consacrer le retour de l’Etat au financement du RST », le Tahoeraa s’interroge: « Qu’a-t-il fait durant deux ans et demi ? »

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Indiquant que « la Ministre des Outremer a clairement déclaré que le retard de versement de l’Etat au financement du RSPF était lié aux engagements du pays pour réformer la PSG », pour le parti de Gaston Flosse, « L’échec de ce dossier résonne comme un aveu d’incompétence » concluant, « La PSG connaît le même sort que le projet aquacole de Hao et celui du Tahiti Mahana Beach ».

Dernière petite phrase assassine, pour finir: « Les propos lénifiants sur le partenariat Etat/Pays et les autosatisfactions (..) ne trompent plus personne, elles apparaissent pour ce qu’elles sont : des écrans de fumée qui ne parviennent plus à faire illusion ».
 

Rédaction web avec communiqué

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