Édouard Fritch devrait accéder sans véritable opposition au poste de président de la Polynésie française le vendredi 12 septembre. Il sera soutenu par les 38 élus du Tahoeraa Huiraatira et peut-être davantage. Car selon les élus de l’opposition il fera un meilleur président que son prédécesseur Gaston Flosse.
Pour preuve : ce matin mardi 9 septembre les rires fusaient de la rencontre avec les présidents de groupe à l’Assemblée de la Polynésie française à Papeete, lors de la préparation de la séance de vendredi. La bonne humeur émaille souvent les réunions de travail d’Édouard Fritch. Pour l’opposition, il fera un bon président de la Polynésie s’il garde la même liberté qu’en tant que président de l’Assemblée, comme le confirme le leader du groupe politique A Tia Porinetia Teva Rohfritsch.
Ni A Tia Porinatia, ni l’UPLD (Union pour la démocratie) ne s’est rapproché du futur président de la Polynésie pour obtenir un poste au gouvernement. Ils restent cependant ouverts à toute discussion pour le redressement économique du pays, comme le confirme le président du groupe UPLD à l’assemblée Antony Geros.
Si Édouard Fritch s’attire la sympathie des élus de l’opposition, Marcel Tuihani à la tête de l’assemblée ne fait pas vraiment l’unanimité.
L’UPLD et A Tia Porinetia n’ont pas encore décidé s’ils présentent un candidat à la présidence du pays. Ils ont jusqu’à jeudi minuit pour déposer leur candidature.
Pour preuve : ce matin mardi 9 septembre les rires fusaient de la rencontre avec les présidents de groupe à l’Assemblée de la Polynésie française à Papeete, lors de la préparation de la séance de vendredi. La bonne humeur émaille souvent les réunions de travail d’Édouard Fritch. Pour l’opposition, il fera un bon président de la Polynésie s’il garde la même liberté qu’en tant que président de l’Assemblée, comme le confirme le leader du groupe politique A Tia Porinetia Teva Rohfritsch.
Ni A Tia Porinatia, ni l’UPLD (Union pour la démocratie) ne s’est rapproché du futur président de la Polynésie pour obtenir un poste au gouvernement. Ils restent cependant ouverts à toute discussion pour le redressement économique du pays, comme le confirme le président du groupe UPLD à l’assemblée Antony Geros.
Si Édouard Fritch s’attire la sympathie des élus de l’opposition, Marcel Tuihani à la tête de l’assemblée ne fait pas vraiment l’unanimité.
L’UPLD et A Tia Porinetia n’ont pas encore décidé s’ils présentent un candidat à la présidence du pays. Ils ont jusqu’à jeudi minuit pour déposer leur candidature.