Patrick Karam note avec satisfaction que « l’actuel président de la République n’a pas rompu avec une tradition remise en place par Nicolas Sarkozy et suivie par son successeur François Hollande qui avaient tenu à créer un ministère de plein exercice en considérant qu’il fallait donner plus de poids au titulaire de la charge au regard des retards considérables dans tous les domaines et des spécificités de nos territoires éloignés. »
Il demande que « des pouvoirs élargis soient dévolus à la ministre des outre-mer dont l’administration ne gère que 10% des interventions publiques, et lui permettre de peser sur les budgets que ses collègues consacrent aux outre-mer pour veiller à ce que ces budgets ne subissent pas des baisses ou des réorientations en fonction des circonstances ou des besoins d’économie ».
Patrick Karam demande au président de la République de « tenir les engagements de François Hollande sur la Guyane sous peine de devoir affronter la fronde la plus sévère et de voir se cristalliser une perte de crédibilité et de confiance de nos compatriotes envers la République ».
De surcroît, Il lui demande de « ne pas attendre de crise dans d’autres territoires ultramarins et d’engager sans tarder une consultation sur le nécessaire rattrapage en termes d’investissements et de lutte contre le chômage, la pauvreté, la délinquance, les retards considérables en matière de santé publique afin de prendre toutes les décisions pour atteindre une égalité réelle en une génération au plus tard pour offrir de vraies perspectives d’espoir à nos compatriotes ultramarins et éviter de devoir négocier sous la pression de la rue ».
Selon Patrick Karam, « Emmanuel Macron devrait méditer les propos d’un de ces prédécesseurs: ‘Méfiez-vous de l’outre-mer, disait Chirac. Derrière ses plages et ses cocotiers sommeille toujours quelque volcan… ». S’il devait ne pas en tenir compte, Patrick Karam lui prédit un réveil douloureux.
Il demande que « des pouvoirs élargis soient dévolus à la ministre des outre-mer dont l’administration ne gère que 10% des interventions publiques, et lui permettre de peser sur les budgets que ses collègues consacrent aux outre-mer pour veiller à ce que ces budgets ne subissent pas des baisses ou des réorientations en fonction des circonstances ou des besoins d’économie ».
Patrick Karam demande au président de la République de « tenir les engagements de François Hollande sur la Guyane sous peine de devoir affronter la fronde la plus sévère et de voir se cristalliser une perte de crédibilité et de confiance de nos compatriotes envers la République ».
De surcroît, Il lui demande de « ne pas attendre de crise dans d’autres territoires ultramarins et d’engager sans tarder une consultation sur le nécessaire rattrapage en termes d’investissements et de lutte contre le chômage, la pauvreté, la délinquance, les retards considérables en matière de santé publique afin de prendre toutes les décisions pour atteindre une égalité réelle en une génération au plus tard pour offrir de vraies perspectives d’espoir à nos compatriotes ultramarins et éviter de devoir négocier sous la pression de la rue ».
Selon Patrick Karam, « Emmanuel Macron devrait méditer les propos d’un de ces prédécesseurs: ‘Méfiez-vous de l’outre-mer, disait Chirac. Derrière ses plages et ses cocotiers sommeille toujours quelque volcan… ». S’il devait ne pas en tenir compte, Patrick Karam lui prédit un réveil douloureux.
Rédaction Web avec communiqué