Selon maître Stanley Cross, ces personnes n’ont pas eu la possibilité de se défendre sur les accusations dont ils ont fait l’objet. Il y aurait eu, selon lui, une violation manifeste de la déclaration universelle des droits de l’homme.
« Nous considérons qu’il y a eu une atteinte à la liberté fondamentale dans le cadre du licenciement de ces 4 salariés par l’hôtel Intercontinental de Moorea. Si le tribunal du travail considère qu’il y a eu une atteinte à une liberté fondamentale, puisque nous invoquons l’article 6.3 de la Convention européenne des droits de l’homme, cela aboutit obligatoirement à la nullité du licenciement et à la réintégration des salariés » explique Stanley Cross.
La décision est attendue pour le 16 mars.