L’ex-entraîneur est accusé de s’en être pris aux victimes présumées au sein même du club sportif. De 1991 à 1998 pour l’une et de 2011 à 2013 pour les trois autres. L’homme aurait aussi filmé certains des ébats, ce qui lui vaut d’être également renvoyé pour captation d’images à caractère pornographique mettant en scène des mineurs.
Ce lundi matin, les avocats des victimes ont sollicité le huis clos partiel afin que les journalistes puissent rendre compte du déroulement du procès qui doit se tenir sur quatre jours. Mais les magistrats de la cour d’assises s’y sont opposés et ont prononcé le huis clos total. Le verdict est attendu jeudi.