La société Tahiti Ocean Food affirme de son côté qu’aucun contrat n’avait été finalisé. « Monsieur Taputaputuarai a été mandaté par mes clients pour effectuer différentes prestations. Il y avait deux phases. La première a été achevée jusqu’à l’obtention des permis de construire. La deuxième phase devait faire l’objet de nouvelles négociations. Mes clients n’ont pas souhaité poursuivre les relations contractuelles et c’est la raison pour laquelle une action a été engagée », estime Me Journaine, l’avocat de la société.
Ce que conteste vigoureusement l’avocat de l’entrepreneur. « J’ai un échange de correspondance abondant qui démontre (…) non seulement la réalité de la demande de l’investisseur, mais surtout son degré de contentement par rapport au travail qui a été fait », assure Me Quinquis.
Le dossier n’a pas été évoqué sur le fond ce vendredi matin et reviendra donc prochainement devant le tribunal mixte de commerce. L’avocat de Tahiti Nui Ocean Food assure que le contentieux ne retarde en rien l’avancement du projet.
Rédaction web avec JBC
Me Jourdainne, avocat de Tahiti Ocean Food
Me Quinquis, avocat de Coco Taputuarai