Des documents historiques appartenant au Pays qui lui avait été offerts par l’une de ses connaissances. Henri Renaud de la Faverie avait vendu les documents en 2007 chez un marchand de manuscrits à Paris pour un peu plus d’un million de Fcfp. C’est là que les enquêteurs ont retrouvé leur trace.
En première instance, Henri Renaud de la Faverie avait été relaxé. Son avocat avait soulevé la prescription des faits, estimant que son client ne pouvait être poursuivi pour un présumé recel remontant à dix années. Le tribunal lui avait donné raison. Mais le parquet a décidé de faire appel de cette décision.