Devant le juge d’instruction, le mis en cause a reconnu les violences mais a nié avoir séquestré sa victime. Il a également assuré que les relations sexuelles étaient consenties.
Le juge des libertés et de la détention a néanmoins suivi l’avis du parquet en décidant d’écrouer le mis en cause à la maison d’arrêt pour la suite de l’enquête. Le magistrat a justifié son choix en expliquant qu’il craignait que l’homme ne s’en prenne de nouveau à la jeune femme.
En 2016, puis en septembre dernier, celui-ci avait en effet été condamné par le tribunal correctionnel pour des violences commises sur celle qui partageait sa vie.