« Le 29 avril, le tribunal de commerce va avoir un choix à faire entre accepter le plan de continuation présenté par La Dépêche, refuser le plan de continuation. Et s’il refuse le plan de continuation, deux sous options : soit la liquidation judiciaire, soit un repreneur se présenterait d’ici le 29 avril et emporterait La Dépêche avec lui. Mais aujourd’hui, il n’y a pas de repreneur qui se présente », explique Me Jean-Michel Vergier, l’avocat de La Dépêche de Tahiti.
Pour réduire la masse salariale, le plan table sur une réduction du temps de travail des salariés grâce au dispositif de Contrat de soutien à l’emploi (CSE), adopté par le Pays il y a quatre ans. En substance, les salariés auraient des semaines de quatre jours, avec une perte de revenus d’environ 10%.