Elle aurait escroqué de la sorte son employeur de plus de six millions de francs. Mais sentant que l’étau se resserrait, elle avait décidé d’effacer toute trace de son forfait. Elle avait également demandé à la personne qu’elle avait mandaté pour incendier la société (contre 20 000 francs) de dérober les ordinateurs. Là aussi pour tenter de masquer ses agissements.
C’est finalement grâce à la géolocalisation des téléphones portables que les enquêteurs ont découvert le pot aux roses. Le soir du sinistre, la jeune femme « bornait » à proximité des lieux et elle était entrée plusieurs fois en contact avec l’incendiaire.
Une information judiciaire a été ouverte pour incendie volontaire et émission de chèques volés. Les mis en cause ont reconnu les faits. L’enquête se poursuit.