Selon le quotidien Le Monde, qui révèle l’information, les premières auditions ont montré que cet exercice s’était déroulé alors que Tahiti se trouvait en alerte orange météorologique le jour du drame, le 9 novembre.
Ce dont n’ont pas tenu compte les organisateurs de la marche. En outre, ceux-ci « ne connaissaient que très succinctement la vallée (…) et sont partis sans téléphone satellitaire ». Autant de « dysfonctionnements importants dans l’organisation de cette marche », indique le quotidien.
Clément Elard, jeune fusilier-marin, faisait partie d’un groupe de 9 soldats qui s’entraînaient dans la vallée de Mahateaho lorsqu’il a été emporté par une soudaine crue de la rivière qu’il tentait de franchir.