Mais le Conseil de l’Ordre a aussi prononcé à l’encontre du dentiste une interdiction temporaire d’exercer avec sursis pour une durée de trois mois, une nouvelle fois suite à une plainte émanant de l’un de ses patients mécontents. Deux sanctions disciplinaires dont l’intéressé peut cependant faire appel.
Sur le plan pénal, le praticien est également inquiété. Il est en effet soupçonné d’avoir surfacturé des soins, voire même établi des factures fictives alors qu’il ne se trouvait pas à Rangiroa. Ce qui lui aurait permis d’empocher près de 20 millions Fcfp au préjudice de la Caisse de Prévoyance Sociale. Une présumée escroquerie pour laquelle il n’a pas encore été jugé.
J-B. C.