Je rappelle avoir été victime d’une grave agression physique alors que je sollicitais différents médicaments en fin d’intervention pour ma patiente.
Je n’ai jamais exigé ces médicaments pour en faire un usage personnel mais uniquement pour les besoins de ma patiente au réveil d’une intervention chirurgicale de près de cinq heures.
Je n’ai jamais été « accro » aux médicaments et cette allégation ne relève que d’une interprétation des enquêteurs pour tenter de justifier un geste d’une rare violence sur ma personne et qui a entraîné une enquête à charge.
Enfin je n’ai jamais fait l’objet d’un internement psychiatrique. »
Note de la rédaction : nous prenons acte des déclarations de M. Valla (dont nous n’avons jamais cité le nom dans nos articles) dans l’attente du procès qui fera sans doute toute la lumière sur cette affaire le 13 juin 2017.