Il s’agit aussi d’apporter un appui technique et financier aux porteurs de projets qui souhaitent valoriser et préserver les milieux protégés et les ressources naturelles de notre biodiversité ultramarine.
Parmi les 99 lauréats de cet appel à projets, sept projets polynésiens se sont distingués :
- un projet de protection de la biodiversité lagonaire porté par la commune de Taputapuatea ;
- un projet « ITEMATA » : l’aire marine éducative comme outil d’apprentissage du diagnostic écologique et de la restauration de milieux porté par la DG2E;
- le projet de conservation de la forêt naturelle du plateau de Maraeti’a dans la vallée de la Punaruu porté par l’association Te Rauatiati ;
- le projet de contrôle des espèces exotiques envahissantes prioritaires par des bénévoles et des professionnels formés à la protection de la biodiversité sur le bassin versant Tohiea de la vallée d’Opunohu porté par l’association Moorea Biodiversité;
- le projet « Sauvez la biodiversité unique de Rimatara » porté par l’association Rima’ura;
- le projet de restauration des petits bassins versants domaniaux d’altitude du plateau Te Mehani rahi sis à Raiatea porté par l’association Tuihana;
- le projet de développement du programme de protection de la biodiversité terrestre de l’île de Ua Huka porté par l’association Vaiku’a.
De l’Océan Indien aux bassins Atlantique et Pacifique, la diversité des thématiques proposées traduit sans conteste l’engagement croissant des outre-mer pour la gestion et la restauration de la biodiversité
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En Polynésie française, la préservation du milieu marin, la lutte contre les espèces exotiques envahissantes et l’éducation ont été à l’honneur.
Très variées, les propositions vont du micro-projet à des opérations d’envergure, soutenues financièrement pour un montant total de 716 millions de Fcfp.