Coupé du monde, le parc à poissons en pierres de l’atoll de Raraka est uniquement accessible après 1h30 de bateau. Depuis toujours, il se trouve sur une pointe. Personne ne sait réellement quand il a été construit. Mais la vie du village s’organise autour de ce parc.
Dès 4h30 du matin, les pêcheurs y récupèrent les poissons de lagon qui serviront d’appâts à de plus grosses prises à l’extérieur de l’unique passe du village. En effet, à force de manger du poisson de lagon, présent en grand nombre dans les parcs, les Paumotu de Raraka recherchent aujourd’hui le poisson du large au goût différent, et notamment le thon à dents de chien.
Le parc de cet atoll a été créé spécialement pour élever les appâts. Mais se servir de ces appâts nécessite de ne pas traîner, « parce qu’on doit conserver ces appâts vivants », explique Yvonnick, l’un des pêcheurs que nous avons rencontrés. « Tu n’as qu’un court instant pour pêcher le thon à dents de chien : une période de 30 minutes et c’est fini… »
Telle est la vie des 50 habitants du village de Raraka. Une vie qui s’organise encore autour d’un piège à poissons en pierres, qui a nourrit leurs ancêtres.
Dès 4h30 du matin, les pêcheurs y récupèrent les poissons de lagon qui serviront d’appâts à de plus grosses prises à l’extérieur de l’unique passe du village. En effet, à force de manger du poisson de lagon, présent en grand nombre dans les parcs, les Paumotu de Raraka recherchent aujourd’hui le poisson du large au goût différent, et notamment le thon à dents de chien.
Le parc de cet atoll a été créé spécialement pour élever les appâts. Mais se servir de ces appâts nécessite de ne pas traîner, « parce qu’on doit conserver ces appâts vivants », explique Yvonnick, l’un des pêcheurs que nous avons rencontrés. « Tu n’as qu’un court instant pour pêcher le thon à dents de chien : une période de 30 minutes et c’est fini… »
Telle est la vie des 50 habitants du village de Raraka. Une vie qui s’organise encore autour d’un piège à poissons en pierres, qui a nourrit leurs ancêtres.
Rédaction web avec André Vohi et Yvonnick Tapi