« Au début j’ai stressé mais après, quand tu danses tu as tout le plaisir qui monte. Tu as les percussions qui sont là et du coup, tu es encore plus contente. »
Après les enfants, c’est au tour des grandes. Les mamans dans le public sont attentives. L’une d’entre elles témoigne :
« Il y a beaucoup de concurrentes qui ont du potentiel. Ma fille est là mais ça va être difficile. »
Isabelle ne regrette pas d’être venue de loin, elle est parmi les dix finalistes.
« Je viens du Mexique et c’est la première fois dans une compétition internationale. »
Du côté de l’organisation, le Heiva s’est bien déroulé. Il explique :
« La majorité des participants vient surtout pour partager leur amour de la culture, faire des rencontres et repartent avec différents contacts. C’est un vrai moment de partage autour de la culture polynésienne. »
Rendez-vous est pris l’an prochain avec peut-être encore plus de nationalités représentées…
Rédaction web avec Christian Bonardel