Sur l’atoll de Kauehi, aux Tuamotu, Teata est passé maître dans l’art de traquer le poisson. Depuis toujours, il partage sa passion et ses connaissances avec la jeunesse.
« Et à force de pousser les jeunes à me suivre, j’ai réussi à partager ma passion pour la pêche, se réjouit-il. Aujourd’hui mon petit-fils et ses amis sont autonomes. Ce sont de vrais pêcheurs. »
Mais la spécialité de Teata, c’est la pêche au harpon, très répandue sur l’atoll. À Kauehi, la valeur d’un homme se mesure presque à son habilité à manier le harpon sur le récif. Et là, Teata est de loin le meilleur.
« Quand tu vas à la pêche avec lui, tu apprends des choses, assure Thierry, un habitant de l’île. La pêche au harpon, c’est unique pour moi, c’est une autre sensation. Il faut déjà repérer le poisson. C’est une pêche que j’adore. »
Aujourd’hui, le petit-fils de Teata, tout comme de nombreux jeunes de l’atoll, maîtrise cette pêche pa’umotu. Teata peut être fier de lui, car grâce à sa personnalité, il a su attirer les jeunes dans cette activité et transmettre tout son savoir.
« Et à force de pousser les jeunes à me suivre, j’ai réussi à partager ma passion pour la pêche, se réjouit-il. Aujourd’hui mon petit-fils et ses amis sont autonomes. Ce sont de vrais pêcheurs. »
Mais la spécialité de Teata, c’est la pêche au harpon, très répandue sur l’atoll. À Kauehi, la valeur d’un homme se mesure presque à son habilité à manier le harpon sur le récif. Et là, Teata est de loin le meilleur.
« Quand tu vas à la pêche avec lui, tu apprends des choses, assure Thierry, un habitant de l’île. La pêche au harpon, c’est unique pour moi, c’est une autre sensation. Il faut déjà repérer le poisson. C’est une pêche que j’adore. »
Aujourd’hui, le petit-fils de Teata, tout comme de nombreux jeunes de l’atoll, maîtrise cette pêche pa’umotu. Teata peut être fier de lui, car grâce à sa personnalité, il a su attirer les jeunes dans cette activité et transmettre tout son savoir.
Rédaction web avec André Vohi