Gotz, Bouloc, Jacques Boullaire, Laurent Minguet, André Marere : ce n’est ici qu’un aperçu, mais l’exposition fera 700 mètres carré, une logistique impressionnante. Pour ce projet qui ne cesse de s’enrichir de nouveaux objets et de nouvelles œuvres, les organisateurs ont vu grand. « Nous abordons, au coeur de cette exposition, les 5 archipels, un espace Gauguin, également un espace Tamarii volontaires pour évoquer la Première et la Seconde guerres mondiales. Et nous avons voulu présenter des pièces contemporaines, des pièces actuelles », détaille Franck Doucet, commissaire de l’exposition La Belle histoire de Tahiti et ses îles.
Des œuvres contemporaines, des témoignages du passé : le but de cette exposition est d’aller au-delà des clichés. Pour Caroline Tang, déléguée de la Polynésie française à Paris, l’événement « permet de montrer que la Polynésie ce n’est pas que les plages de sable blanc et les danseuses, mais également un aspect culturel. »
Même si ce n’est pas un objectif affiché et marketing, le tourisme reste la principale ressource économique du fenua. Les visiteurs de l’exposition La Belle histoire de Tahiti et ses îles pourront acheter des billets d’avion, sur place. Un tour opérateur partenaire va mettre 4000 billets au service de cette opération.
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