La plupart des danseurs sont étudiants… entre les cours ils trouvent le temps de répéter et se produisent aussi à diverses occasions.
Mais une des raisons qui poussent les étudiants tahitiens à danser c’est la recherche identitaire. “Quand je rentre, j’essaie d’aller à la période du Heiva. Petit à petit j’apprends plus de choses. Quand je vivais à Tahiti je ne savais pas tout ça”, explique une jeune Tahitienne.
En plus du ‘ori, Manarii s’est fixé un nouvel objectif, celui de promouvoir les sports traditionnels ici. Depuis 2 ans il participe avec son équipe Hawaiienne aux championnats des Tu’aro ma’ohi à Tahiti. “Il faut que les gens voient que le Heiva, ce n’est pas que les danses.”
Ce week-end a lieu la 2e édition du Heiva i Vaihi, avec une compétition de sports traditionnels. Pour l’occasion une délégation du fenua fait le déplacement. Parmi eux, la troupe des Tamariki Poerani.