Histoire, géographie, langues, les élèves ont dû se plonger dans différentes matières pour mener à bien leur projet
« Ils le disent en Français, en Tahitien, en Anglais. Car, aujourd’hui, c’est une représentation pour qu’on puisse transmettre ça à ceux qui arrivent. Et surtout continuer à chanter le himene ruau qui sera l’hymne de l’école », explique Lena Marchal, la directrice de l’établissement.
Et celle-ci de poursuivre : « Ça a été un gros travail de recherches au niveau culturel, sur la toponymie du site de l’école de Teavaro, puisque nous venons d’entrer dans le projet d’aire marine éducative. Et on ne peut pas parler de la mer sans parler de la terre. Donc les enfants ont fait un vrai travail de recherches sur leur environnement proche, sur leur histoire ».
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Pour la suite de l’année scolaire, les élèves ont pour objectif de baliser et de nommer les différents sites existants de Teavaro afin que toute sa population se réapproprie son histoire.