Pendant plus de 5 heures, une soixantaine de danseurs et danseuses venus des AEPF de Bordeaux, Aix-Marseille, Montpellier et Rhône-Alpes ont défilé sur scène pour montrer le meilleur de leur création.
Initiateurs et organisateurs de l’événement, ce sont les bénévoles de l’AEPF de Montpellier qui ont accueilli cette première édition. Le concours était organisé en plusieurs catégories avec des lots à remporter dans chacune d’elles. Un jury composé de cinq membres issus des différentes AEPF, ont eu la lourde tâche de départager les vainqueurs.
Cette année, c’est Montpellier qui tire son épingle du jeu. L’association occupe la première place dans toutes les catégories. En groupe avec les récompenses pour le Ote’a et Mehura ou encore les solistes attribuant un prix au meilleur couple, meilleur danseur et danseuse. Enfin, dans la catégorie « Mini Heiva », les étudiants polynésiens de Montpellier se sont aussi imposés face à Bordeaux.
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Au-delà du concours, Danaya, présidente de l’APEF de Montpellier exprime « sa profonde gratitude à tous les bénévoles, aux participants et aux sponsors sans qui rien n’aurait été possible ». Elle ajoute que ce type d’événement permet de mettre en avant le « riche héritage culturel » de la Polynésie.
Des propos largement partagés par le maire de Punaauia, Simplicio Lissant présent à l’occasion : « c’est un moment culturel important, et je félicite les étudiants pour ce que vous faites pour notre culture. Vous la partagez, c’est par cela qu’on peut continuer de la faire vivre ».
Partenaire de l’événement, le maire de Punaauia à fait part de sa volonté de renouveler ce concours pour les années à venir, en l’élargissant par ailleurs à d’autres AEPF.