Il explique comment il a conçu les modèles de robe et de chemise de ses danseurs. Le résultat final est une robe locale aux allures modernes. Une idée originale sortie tout droit de l’imagination de Farera’i Tutavae.
Il confie : « en fait en faisant des recherches sur Internet, je suis tombé sur un model qui m’a plu. C’est l’image que je voulais donner à mon mehura. C’est très chic et élégant. »
Derrière son apparence détendue, Farera’i n’est pas aussi tranquille qu’il n’y paraît. Contrairement aux autres troupes, à un jour du spectacle, l’ensemble des costumes de Hiroa Tahiti n’est pas encore prêt.
L’assemblage finale a été confié à une couturière professionnelle située à Tipaerui. 10 robes sont en cours de finition. Quant aux chemises des garçons, exit la machine à coudre, l’assemblage des motifs sur la chemise, se fait désormais à la colle.
Pas de thème particulier pour la prestation de Hiro’a Tahiti, mais le Aparima d’un medley de trois chansons polynésiennes. Une formule que Farera’i a choisi pour mener sa troupe, au moins en finale du Mehura. Verdict ce jeudi soir pour la première étape du challenge. En 2014, la troupe Manohiva a raflé les deux premiers prix en catégorie Hura Tapairu et Mehura.
Interview de Farera’i Tutavae