Ukuhere
Manahau
Atōroira’i
Hei Tahiti
Arata’i
L’école de percussions Arata’i fait vivre l’héritage du mythique Papi Teupo’o. Il l’avait créée en l’an 2000, et elle est toujours là, animée par son fils, Poehei Temaiana, sur le motu de Arue. Pour le Ta’upiti ana’e, il a rassemblé une cinquantaine d’as de la frappe, dont quelques jeunes du Centre Papa Nui : le handicap ne les empêche pas de vivre au rythme des to’ere et autre pahu… parfois aussi grands que les musiciens !
Hia’ai
La jeune danseuse Tokahi Cadousteau ne craint pas les vents contraires. Sur le thème de la pirogue, elle est partie à l’aventure, sur la scène du Fare Tauhiti Nui, avec sa nouvelle école de danse, Hia’ai. Après moins d’un an d’existence, l’école de Taravao a déplacé 90 danseuses, soutenues par six musiciens. Tous ont enflammé le Ta’upiti ana’e. Quant à Tokahi Cadousteau, pas question de se reposer : elle va danser au Heiva dans un mois avec la troupe Tevaitai !
Ori Tahiti ‘O Hinarere
Deux ans d’existence, et déjà un deuxième Ta’upiti ana’e pour Ori Tahiti ‘O Hinarere et son orchestre. Un spectacle très fleuri choisi par l’école de Mahina et sa chorégraphe Mahilani Teuira. Et une bonne préparation pour son gala, qui n’a pas encore eu lieu : ce sera le 14 juin à la salle Pito iti de Papenoo.
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Tamari’i Poerava
Tamari’i Poerava, l’école de Moeata et Hianau Laughlin, est répartie sur trois communes : Faa’a, Paea et Taravao. Les 110 danseurs et danseuses des trois sites ont dû se serrer pour tenir sur la scène du Grand théâtre. Et pour ce Ta’upiti ana’e, ils ont présenté une version très écourtée de leur gala, sur le thème du triangle polynésien, avec des incursions chez les cousins du Pacifique. Cette version accélérée a provoqué quelques couacs techniques, même si la prestation des Tamari’i Poerava est restée très dynamique.