Grand débarquement à Tutukaka, au Nord de la Nouvelle Zélande. La semaine dernière, les lycéens ramaient à Rotorua, dans une eau glacée. Ici, la météo est plus clémente, même si l’océan reste bien plus froid qu’à Tahiti.
C’est ici que s’entraîne Jamille Ruka, l’un des moteurs de la sélection néo-zélandaise. Et malgré son excellent niveau, il dit apprendre encore au contact de ces jeunes Tahitiens. » L’eau est leur élément, donc nous avons cette connexion commune avec l’eau, mais nous bénéficions du savoir des Tahitiens. On en apprend plus sur la rame, sur les sensations, et sur cette connexion particulière avec la mer. C’est pour ça que je suis heureux de partager ça avec ma famille tahitienne. Et parce qu’ils sont vraiment doués en va’a : c’est pour ça que j’adore apprendre avec eux ».
Les deux V6 mêlent des lycéens, du personnel de l’établissement, et même le directeur. Au retour, ils jettent tous leurs forces dans le sprint final, avant de regagner leur nouvelle maison. Car durant trois jours, ils vivent en immersion dans des familles maori, avant de repartir vers Auckland, puis de regagner Tahiti.
C’est ici que s’entraîne Jamille Ruka, l’un des moteurs de la sélection néo-zélandaise. Et malgré son excellent niveau, il dit apprendre encore au contact de ces jeunes Tahitiens. » L’eau est leur élément, donc nous avons cette connexion commune avec l’eau, mais nous bénéficions du savoir des Tahitiens. On en apprend plus sur la rame, sur les sensations, et sur cette connexion particulière avec la mer. C’est pour ça que je suis heureux de partager ça avec ma famille tahitienne. Et parce qu’ils sont vraiment doués en va’a : c’est pour ça que j’adore apprendre avec eux ».
Les deux V6 mêlent des lycéens, du personnel de l’établissement, et même le directeur. Au retour, ils jettent tous leurs forces dans le sprint final, avant de regagner leur nouvelle maison. Car durant trois jours, ils vivent en immersion dans des familles maori, avant de repartir vers Auckland, puis de regagner Tahiti.
Mike Leyral