Plusieurs consignes existent pour intervenir sur un animal blessé ou décédé. « Il y a une procédure technique et administrative à mettre en place. Il faut que les normes de sécurité sanitaire soient respectées avec précision », explique Faimano, biologiste à la direction de l’environnement.
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Pour cela, 25 correspondants bénévoles sont en cours de formation. Le programme est chargé. Ils s’entraînent d’abord à manipuler les cétacés et à leur faire des prélèvements de tissus. Pour que l’apprentissage des gestes soit plus précis, les référents se font la main sur des dauphins gonflables. Vient ensuite la théorie. Tous révisent leurs connaissances sur les espèces protégées par le code de l’environnement. Chaque référent repartira avec un kit d’information et une tenue de sécurité pour se protéger. Un périmètre de sécurité devra être établi pour ne pas gêner l’intervention en cas d’échouage.
Seuls ces référents seront habilités à intervenir auprès des animaux marins en péril.