Son amour pour la sculpture lui a été transmis son père depuis maintenant 18 ans :« Mon père était un agent communal. À sa retraite, il a voulu travailler la sculpture« . Après avoir passé cinq ans en métropole, Wildorf est rentré aux Marquises où il s’est donc passionné pour la sculpture aux côtés de père.
Wildorf témoigne de son quotidien d’artisan sur son petit bout de paradis perdu : « Je travaille tous les jours, même le dimanche (…) Tous les sculpteurs marquisiens travaillent sur deux bois : il y a le bois de rose, et le bois qu’on appelle chez nous le tou (…) On est là pour les jeunes, on veut leur apprendre. On veut qu’ils reviennent dans la culture et travaillent aussi la sculpture » .