Les faits se sont produits dans la nuit de dimanche à lundi dans l’établissement pénitentiaire surpeuplé de Nouméa.
Vers 23 heures, à l’occasion d’une ronde dans un des bâtiments du centre de détention fermé, un gardien a été agressé par plusieurs détenus, qui étaient parvenus à ouvrir les portes de leurs cellules.
« Il était accompagné d’une surveillante qui heureusement était à l’autre bout du bâtiment. Le gardien a été frappé à coups de pied et coups de poing, notamment sur la tête », a indiqué à l’AFP Thierry Bourrat, porte-parole de la police nationale.
Les émeutiers ont pris le trousseau de clés et la radio de leur victime avant de la séquestrer dans une cellule « environ une demi-heure ». « D’autres surveillants sont arrivés sur place et ont réussi à libérer leur collègue. Mais la vingtaine de détenus de ce bloc a alors saccagé le bâtiment et brûlé des matelas », a-t-on ajouté de même source.
Les pompiers, la police nationale et le GIPN (Groupe d’intervention de la police nationale) sont intervenus pour faire cesser la rébellion, qui a duré près de trois heures.
Les détenus ont été menottés et remis au personnel pénitentiaire. Le gardien blessé a pour sa part été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger, selon la police. Une enquête est ouverte.
Vers 23 heures, à l’occasion d’une ronde dans un des bâtiments du centre de détention fermé, un gardien a été agressé par plusieurs détenus, qui étaient parvenus à ouvrir les portes de leurs cellules.
« Il était accompagné d’une surveillante qui heureusement était à l’autre bout du bâtiment. Le gardien a été frappé à coups de pied et coups de poing, notamment sur la tête », a indiqué à l’AFP Thierry Bourrat, porte-parole de la police nationale.
Les émeutiers ont pris le trousseau de clés et la radio de leur victime avant de la séquestrer dans une cellule « environ une demi-heure ». « D’autres surveillants sont arrivés sur place et ont réussi à libérer leur collègue. Mais la vingtaine de détenus de ce bloc a alors saccagé le bâtiment et brûlé des matelas », a-t-on ajouté de même source.
Les pompiers, la police nationale et le GIPN (Groupe d’intervention de la police nationale) sont intervenus pour faire cesser la rébellion, qui a duré près de trois heures.
Les détenus ont été menottés et remis au personnel pénitentiaire. Le gardien blessé a pour sa part été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger, selon la police. Une enquête est ouverte.
AFP