Cette structure fabriquée à l’aide d’un mélange de composite et d’acier « améliore la qualité de l’eau pour la faune et la flore », précise Laurent Héquily. Selon lui, le brassage de l’eau créé par le mouvement de la vague « oxygène le plan d’eau et limite son réchauffement ».
Si ce projet est initialement fait pour créer des spots de surf à l’année, son concept peut servir de récif artificiel et donc créer des nouveau spots de plongée.
Un premier prototype à l’échelle un quart a été testé en Aquitaine durant l’été 2016. Le résultat s’est révélé convaincant. Dans la ligne de mire de Laurent Héquily : les Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 avec l’arrivée du surf comme sport officiel.