Décédé en 2010, Jaques Lafleur a dominé pendant de nombreuses années la vie politique de Nouvelle-Calédonie. La famille Lafleur est à la tête de nombreuses entreprises du Caillou, présente dans l’immobilier, l’industrie, les hôtels, la restauration…
Les médias ont d’ores et déjà rebaptisé Clarisse Lafleur, étudiante de 18 ans, et fille de Pascal Lafleur, la « Paris Hilton calédonienne ». La jeune femme a confié au Dailymail qu’elle dépensait « plus pour ses vêtements que la plupart des gens ne dépensent chaque année pour vivre ». Dans son dressing, des tenues et accessoires signés Christian Louboutin, Karl Lagerfeld ou encore Valentino Garavani.
Repérée sur Instagram comme « enfant riche », Clarisse Lafleur affiche ses escapades en yacht, voyages en jet privé…. Elle ne cache en rien sa fortune. « Je comprends parfaitement que les gens généralisent et perçoivent notre mode de vie très négativement quand ils voient que des adolescents remplissent leurs jacuzzis avec du champagne à 600 dollars la bouteille », a-t-elle déclaré au Dailymail.
« J’ai un compte en banque et un père très généreux qui veut le meilleur pour ses enfants », explique la jeune femme.
Mais Clarisse Lafleur compte bien gagner elle-même sa fortune. « Mon projet professionnel serait de travailler avec mon père jusqu’à sa retraite, puis de reprendre ses affaires », a-t-elle confié au site d’information.
Clarisse Lafleur trouve que l’empire de sa famille n’est pas assez diversifié. « Pour moi, ça ne suffit pas et je tiens à le diversifier encore plus. (…) Je suis également très intéressée par la mode. Je voudrais en savoir plus sur l’entreprise de la mode, les chiffres derrière les paillettes, comment les entreprises de mode sont gérées. »
Sur les réseaux sociaux, le rythme de vie de la Paris Hilton calédonienne ne plait pas à tout le monde. Clarisse Lafleur a confié au Dailymail qu’elle recevait souvent des messages agressifs : « La semaine dernière sur Twitter, un homme m’a dit qu’il souhaitait que j’ai le cancer ».
Pour autant, l’étudiante « ne ressent pas le besoin de se défendre en ligne ». « Si mes messages vous blessent, s’ils vous rendent jaloux ou si vous vous sentez mal, alors ne me suivez plus sur Instagram », conclut-elle.
Rédaction Web