Les service de Police ont indiqué que le chauffeur du camion avait été abattu. Vers 23H20, un important périmètre de sécurité était délimité à proximité et autour de la place Masséna. La préfecture des Alpes-Maritimes, évoquant un attentat, a conseillé aux habitants de rester cloîtrés.
Le président François Hollande, qui se trouvait à Avignon au moment du drame, est arrivé peu avant 1H30 à la cellule de crise établie au ministère de l’Intérieur à Paris. Le chef de l’Etat a déclaré que l’attentat de Nice, qui a fait au moins « 77 morts » dont des « enfants », est « une attaque dont le caractère terroriste ne peut être nié« . Dans son allocution, il a, par ailleurs, annoncé que l’état d’urgence serait prolongé de trois mois. Il a également demandé aux citoyens réservistes de l’armée de se mobiliser.
Le président des Etats-Unis Barack Obama, de son côté, a fermement condamné jeudi soir « ce qui semble être une horrible attaque terroriste »
Le drame a laissé place à des scènes de chaos
Scènes de chaos à #Nice où il y aurait des dizaines de blessés après qu’un camion ait foncé dans la foule!#Attentat pic.twitter.com/JW0Zwq2taR
— Napoléon (@tprincedelamour) 14 juillet 2016