Objectif : « juxtaposer le cadre de la COP26 avec les situations réelles rencontrées à Tuvalu en raison des impacts du changement climatique et de l’élévation du niveau de la mer » explique le ministère sur les réseaux sociaux.
Tuvalu participe au programme du Pacifique sur les migrations liées au changement climatique et la sécurité humaine et copréside avec les Fidji un groupe de travail conjoint sur la mobilité liée au climat pour superviser l’élaboration d’un cadre régional du Pacifique sur la mobilité climatique.
Dans plusieurs pays dont la France et l’Australie, des rassemblements ont lieu pour réclamer une « justice climatique », en marge de la COP26 qui a lieu en ce moment à Glasgow en Ecosse.
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Les enjeux de cet événement de l’ONU sur le climat sont nombreux dans un contexte de pandémie mondiale qui a fragilisé les pays pauvres déjà vulnérables aux impacts du dérèglement climatique.
Quelque 200 délégations se penchent notamment sur la manière de limiter, comme le prévoit l’accord de Paris de 2015, le réchauffement de la planète bien en deçà de +2°C, et si possible à +1,5°C.
Chaque dixième de degré supplémentaire de réchauffement compte et entraîne son lot de conséquences, canicules, incendies ou inondations.
Or, d’après les dernières estimations de l’ONU, qui doivent être actualisées avec les dernières promesses, le monde se dirige actuellement vers un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C.
Ces derniers jours, de nouveaux engagements ont été annoncés par l’Inde, le Brésil ou encore l’Argentine, ce qui pourrait faire évoluer ces prévisions