Hamdi Z. a été mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle » et placé en détention provisoire, a précisé le parquet.
Le suspect et Mohamed Lahouaiej Bouhlel étaient en relation « depuis au moins un an », selon une source proche de l’enquête. Hamdi Z. apparaît également dans un selfie pris, quelques jours avant l’attaque jihadiste, par le tueur devant le camion lancé sur la foule le soir de la fête nationale.
Les enquêteurs soupçonnent qu’Hamdi Z. a pu être au courant du projet d’attentat, selon la source.
Interpellé le 25 juillet à Nice, l’homme a été transféré lundi à Paris avant d’être présenté à un juge antiterroriste. Il s’agit de la sixième mise en examen dans ce dossier.
Chokri C., Mohamed Oualid G. et Ramzi A. sont poursuivis pour « complicité d’assassinats en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste ». L’enquête a mis en lumière leur présence aux côtés du tueur dans les jours ayant précédé le carnage ou, dans le cas de Ramzi A., a révélé que des SMS envoyés par Lahouaiej Bouhlel lui avaient été adressés juste avant la tuerie.
Ramzi A. est aussi mis en examen pour « infractions à la législation sur les armes », avec un couple d’Albanais, Artan H. et Enkeledja Z., soupçonnés d’avoir participé à la fourniture du pistolet avec lequel Lahouaiej Bouhlel a tiré sur des policiers avant d’être tué.
Loin d’être un loup solitaire, Mohamed Lahouaiej Bouhlel semblait avoir « mûri » son projet depuis plusieurs mois et avoir bénéficié de « complicités », d’après le procureur de la République de Paris, François Molins.
Le suspect et Mohamed Lahouaiej Bouhlel étaient en relation « depuis au moins un an », selon une source proche de l’enquête. Hamdi Z. apparaît également dans un selfie pris, quelques jours avant l’attaque jihadiste, par le tueur devant le camion lancé sur la foule le soir de la fête nationale.
Les enquêteurs soupçonnent qu’Hamdi Z. a pu être au courant du projet d’attentat, selon la source.
Interpellé le 25 juillet à Nice, l’homme a été transféré lundi à Paris avant d’être présenté à un juge antiterroriste. Il s’agit de la sixième mise en examen dans ce dossier.
Chokri C., Mohamed Oualid G. et Ramzi A. sont poursuivis pour « complicité d’assassinats en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste ». L’enquête a mis en lumière leur présence aux côtés du tueur dans les jours ayant précédé le carnage ou, dans le cas de Ramzi A., a révélé que des SMS envoyés par Lahouaiej Bouhlel lui avaient été adressés juste avant la tuerie.
Ramzi A. est aussi mis en examen pour « infractions à la législation sur les armes », avec un couple d’Albanais, Artan H. et Enkeledja Z., soupçonnés d’avoir participé à la fourniture du pistolet avec lequel Lahouaiej Bouhlel a tiré sur des policiers avant d’être tué.
Loin d’être un loup solitaire, Mohamed Lahouaiej Bouhlel semblait avoir « mûri » son projet depuis plusieurs mois et avoir bénéficié de « complicités », d’après le procureur de la République de Paris, François Molins.
AFP