« La température mondiale moyenne en 2018 a été plus faible qu’en 2015, 2016 et 2017, mais plus chaude que chaque année observée avant 2015 », indique le rapport. « L’année 2016 reste donc l’année la plus chaude de la période des observations historiques », poursuit le groupe de recherche indépendant, selon lequel la tendance générale reste cohérente avec « un réchauffement mondial de long terme ».
Le gouvernement américain conduit habituellement une analyse similaire, mais la fermeture partielle des administrations fédérales, depuis décembre, a empêché ce travail pour l’instant.
Un autre groupe de chercheurs, en Europe, le Copernicus Climate Change Service, a publié le 7 janvier une analyse similaire, confirmant que les quatre dernières années avaient été les plus chaudes jamais enregistrées.
AFP