« Elle avait été installée à dessein dans un conduit de chauffage » et n’avait été découverte que lorsque qu’un panneau était tombé à terre.
Une soixantaine de personnes travaillaient à l’ambassade à l’époque.
« Une épaissse couche de poussière recouvrait le support artisanal de la caméra, ce qui montre qu’elle était là depuis de nombreux mois ».
L’ADN récupéré sur la carte mémoire de l’engin correspond à celui du suspect.
En amont du procès, la justice avait rejeté la demande d’anonymat du prévenu, qui avait argué que lui et sa famille seraient exposés « à des difficultés extrêmes » si son identité était révélée.
Il plaide non coupable.