Les premiers flacons vendus en métropole portaient un nom poétique : « l’or de leur corps ». Parce que depuis qu’elle s’exporte, l’huile sacrée a toujours surfé sur le mythe de la vahine, et sur les traditions polynésiennes. Mais aujourd’hui, le monoï est devenu une industrie. Des coprahculteurs à l’huilerie de Tahiti, des producteurs polynésiens aux usines métropolitaines… découvrez le périple d’une goutte de monoï, avant de revenir sublimer la peau des Polynésiennes.

Un magazine de Mike Leyral

Disponible jusqu'au 31/12/2029
Durée : 26 minutes