Orapu festival mobilise une centaine de danseuse en faveur des plus démunis

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Plus d’une centaine de danseuses de Ori Tahiti s’étaient donnés rendez vous toute la journée dans les jardins de l’assemblée de Polynésie ! Un mouvement caritatif baptisé Orapu Festival, crée par Joel BERG, professeur de Ori à l’étranger, qui a voulu soutenir les œuvres de Père Christophe. Au programme : des ateliers technique sur les quatre ronds de bassin de la danse tahitienne.

Publié le 05/10/2019 à 11:49 - Mise à jour le 07/10/2019 à 9:04

Plus d’une centaine de danseuses de Ori Tahiti s’étaient donnés rendez vous toute la journée dans les jardins de l’assemblée de Polynésie ! Un mouvement caritatif baptisé Orapu Festival, crée par Joel BERG, professeur de Ori à l’étranger, qui a voulu soutenir les œuvres de Père Christophe. Au programme : des ateliers technique sur les quatre ronds de bassin de la danse tahitienne.

Donner de soi pour autrui, c’est le fondement même de cette opération caritative lancé par Joëlle Berg, au bénéfice des œuvres de Père Christophe. Et pour donner du sens au mouvement baptisé Orapu, c’est-à-dire le pas de danse lié aux ronds de bassin. Elle a fait appel à neuf écoles de Ori de tahiti et au conservatoire pour animer les ateliers.  

« De façon à ce que tout le monde voit des choses différentes, des énergies de professeurs différents, c’est un pas pendant une demi heure, le fa’arapu, le fa’arori, le ueue, et le ami (tumami)  » développe Joëlle Berg. Et ce principe d’allier la danse à la solidarité a du succès. Plus d’une centaine de danseuses aguerrit et novices ont défilé toute une journée, pour partager ce moment.

« Je suis ravie de la rencontre de toutes ses écoles dans le but d’aider père Christophe » témoigne une participante, Mareva Knochen.

Dans l’après-midi, une dizaine de danseuses sous la direction de Kizaia Taputuarai ont crées une toile, qui sera vendu aux enchères. Et pour donner une continuité au geste altruiste du Orapu Festival, une cagnotte en ligne a été ouverte sur sa page facebook et se termine le 20 Octobre. « Nos sans abris ont besoin de nous, et il faut beaucoup d’oeuvre caritativ epour financer tout ça, c’est le principe d’allier l’art et la solidarité, ça existe partout dans le monde et assez peu ici » a rappelé Joëlle.

Pour participer, chaque danseuse doit s’acquitter d’un montant de 2 000 francs (ateliers de danse, boisson, nourriture, un T-shirt et une visière de casquette). Pour les spectateurs, l’entrée est fixée à 1 000 francs. Le bénéfice de l’événement est entièrement versé à l’œuvre de père Christophe pour la construction du nouveau foyer des sans-abris : Te Vai’ete ‘api.

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